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Jeu de données

Mon quartier, mes voisins (2018)


  • Identifiants :
    • IE0253
    • 10.48756/ined-IE0253-2815

  • Thèmes :
    • 5. Habitat, environnement, territoire
    • Activités culturelles et participation
    • Comportement social et attitudes
    • Égalité, inégalité et exclusion sociale
    • Logement
    • Personnes âgées
    • Vie communautaire, urbaine et rurale

  • Couverture géographique :
    • France métropolitaine et plus particulièrement en région parisienne et lyonnaise.

  • Producteurs :
    • Ined
    • CMW

  • Diffuseur :
    • Progedo-Ined


Titre alternatif

MQMV

Titre parallèle

My neighbourhood, my neighbours (2018)

Pays

France

Couverture géographique

  • France métropolitaine et plus particulièrement en région parisienne et lyonnaise.

Unité d'analyse

Individu

Univers

L'enquête Mon quartier, mes voisins a été réalisée auprès d'hommes et de femmes âgés de 18 ans et plus, résidant dans un logement appartenant à un des 14 Voisinages Statistiques Raisonés (VSR) en région parisienne et lyonnaise; et auprès de leurs contacts de voisinage résidant dans le VSR (logements ordinaire). Les VSR représentent des ensembles d'environ 1000 logements délimités au sein de 7 types de contextes socialement et spacialement différenciés : -Quartiers bourgeois (Ville-centre) -Quartiers gentrifiés (Ville-centre) -Quartiers populaires (Ville-centre) -Quartiers de mixité sociale programmée -Quartiers de grands ensembles en rénovation urbaine -Centres de petites villes périurbaines éloignées -Communes rurales périurbaines

Type de données

Données d'enquête

Méthodologie

Dimension temporelle

Transversale

Dates de collecte

PériodeLibellé
2016-04-04 - 2016-07-07Pré-enquête de faisabilité "Entre Voisins" à Vitry-sur-Seine
2017-01-01 - 2017-08-31Enquêtes exploratoires qualitatives (caractérisation des quartiers) et constitution des bases adresses pour la préparation de l'enquête
2017-07-01 - 2017-07-31Test du questionnaire de l'enquête
2017-11-01 - 2017-11-30Test du protocole de l'enquête dans le 19e arrondissement de Paris
2018-03-21 - 2018-07-04Enquête principale (quanti)

Fréquence de collecte

L'enquête principale a été conduite en une seule fois pendant 3 mois et demi du 21 mars 2018 au 4 juillet 2018.

Procédure d'échantillonnage

Mixte probabiliste et non probabiliste L'échantillon a été constitué en combinant deux perspectives : d'une part, offrir des données représentatives des quartiers étudiés ; et d'autre part, analyser les réseaux de relations dans les différents quartiers. Pour cela, deux échantillons liés ont été construits : un échantillon par tirage au sort, puis un échantillon « par boule de neige ». Sept types de quartiers socialement et spatialement différenciés ont été étudiés et déclinés en régions parisienne et lyonnaise selon un principe d'homologie structurale. Concrètement, il a d'abord été défini au sein de chaque quartier, des « VSR » (Voisinages statistiques raisonnés), c'est-à-dire des ensembles d'environ 1 000 logements, permettant d'avoir des taux de sondage équivalent pour l'ensemble des terrains de l'enquête. Ces VSR ont été délimités en prenant appui sur les contours des IRIS, les délimitations de la carte scolaire, la morphologie des quartiers, leurs frontières physiques et leurs limites administratives. 14 quartiers ont ainsi été sélectionnés comme terrains d'étude. Ensuite, pour constituer la base de sondage, l'ensemble des logements a été recensé dans chaque VSR. Au sein de cette base de sondage comprenant au total 17113 logements identifiables, un premier échantillon de logements (nommés N) a d'abord été tiré aléatoirement. Ce tirage a été réalisé selon la méthode du sondage stratifié à allocation proportionnelle sur le critère «privé/social » (deux strates). Un·e des résident·e·s du logement (majeur·e) était alors invité·e à répondre au questionnaire. Dans celui-ci, une section invitait l'enquêté·e à déclarer et à caractériser les personnes (quatre au maximum), habitant son immeuble ou son quartier, avec lesquelles il/elle avait « le plus de relations ». Ces contacts ont ensuite été identifiés au sein de la base de sondage, puis ont constitué le second échantillon "boule de neige" (nommé N+) de logements à enquêter. Au final, 2572 questionnaires ont été collectés, pour un objectif initial de 3000, l'échantillon final est par ailleurs composé de 64,8 % de N (1667 observations) et 35,2% de « N+ » (905 observations), s'approchant de l'objectif initial de 60 % / 40%.(1) (1) Pour plus d'information, consulter le bilan de collecte : « IE0253_A ».

Mode de collecte

Entretien en face-à-face : assisté par ordinateur (CAPI / CAMI) La collecte des données du volet quantitatif de l'enquête a été réalisée au domicile des enquêté·e·s. Un·e des résident·e·s du logement âgé·e d'au moins 18 ans était invité·e à répondre à un questionnaire en face-à-face d'une durée moyenne d'une heure, mené et saisi par un·e enquêteur·rice dans une application web informatisée (logiciel Voozanoo 3 - EpiConcept) spécialement conçue pour répondre aux besoin de cette enquête. La connexion à l'application de collecte se faisait grâce à une clé 4G.

Type d'instrument de collecte

Questionnaire structuré Le questionnaire a été élaboré progressivement par les membres de l'équipe de recherche tout au long de l'année 2017. Il est composé de huit modules : * MENAGE : La composition du ménage de l'enquêté. *QUARTIER : Son rapport au quartier. *RELATIONS : Ses relations de voisinage à l'échelle de l'immeuble mais aussi à l'échelle du quartier. *CONTACTS : Une description brève de 4 habitant·es (maximum) avec lesquels il/elle est en relation dans son quartier (générateur de contacts N+). *INTEGRATION: Son intégration sociale générale. *ENFANTS: La scolarité et les activités de ses enfants s'il/elle en a. *LOGEMENTS : Les conditions de logement actuelle et la trajectoire résidentielle. *SOCIODEMO : Ses caractéristiques sociodémographiques. Les questions concernant le rapport au quartier et les relations de voisinage pouvaient concerner deux échelles dont la délimitation a été adaptée à chaque contexte : -D'abord, afin de saisir les relations dans le voisinage immédiat, les questions sur les visites et échanges de services concernaient les seuls voisins d'immeuble. Dans les cas où l'enquêté·e ne résidait pas en immeuble (ou dans un immeuble de moins de 4 logements), la formulation de la question était modifiée afin de désigner les relations avec les habitant·es des immeubles ou maisons alentours. -Ensuite, afin de saisir les relations au sein d'un voisinage plus large, ces questions étaient dupliquées à propos cette fois-ci des autres habitant·es du quartier (hors immeuble). Dans les deux communes rurales périurbaines, le terme de « quartier » était alors remplacé par celui de commune. -Notons que pour ces questions concernant les relations comme pour celles concernant les activités pratiquées dans le quartier, le choix a été fait de laisser à l'enquêté·e le soin de déterminer ce qu'il/elle considérait se dérouler ou non dans les limites de son quartier. -Enfin, pour quelques questions, la formulation diffère suivant qu'elles étaient posées aux habitante.es des VSR « Urbains » ou « Ruraux » : Les habitant·es des communes rurales périurbaines ne se voyaient pas proposer la modalité « quartier » pour certaines questions. Leurs réponses sont donc rangées dans des variables différentes. Ces questions sont toutes signalées dans le questionnaire par une note en dessous des instructions aux enquêteur·ices. Afin de conserver une durée acceptable de passation, et après réflexions et discussions, plusieurs thématiques ont dû être écartées du questionnaires et reportées dans un volet qualitatif (1) : diversité de la population du quartier, trajectoire résidentielle détaillée, lien au quartier dans l'enfance, rapport aux institutions locales et policières, sentiment de sécurité, le lien aux commerçants, etc. De même certains profils de N+ ont été écartés. Seuls les N+ correspondant à des adultes dont la résidence principale se situe dans le VSR pouvait être enquêté en vertu du protocole d'identification et de collecte. Au total, la collecte a permis de recueillir 2572 questionnaires, on compte 1269 questionnaires réalisés pour les 7 quartiers de la région lyonnaise, et 1303 questionnaires pour les 7 quartiers de la région parisienne. Certains ont été abandonnés avant la fin. Les questions qui n'ont pas été posées ont pour réponse 6666. (1)Pour des questions d'anonymisation, ce volet qualitatif n'est pas destiné à être mis à disposition.

Caractéristiques de la collecte

Au total, 40 enquêteur·rice·s ont été recrutés (20 en région parisienne, 20 en région lyonnaise). Chaque équipe était composée d'un·e référent·e à temps plein et de deux enquêteur·rice·s (sauf en zone rurale, un·e seul·e enquêteur·rice) pour lesquels une présence de 20h par semaine environ était requise. Deux sessions de formation de 2 jours (9h-18h) ont été organisées : les 19 et 20 mars 2018 à Lyon et les 22 et 23 mars 2018 à Paris. Les habitant·es des quartiers/communes concernés ont été prévenu·e·s par différents biais de la venue prochaine des enquêteur·ices dans leur quartier : affiches dans les quartiers et les immeubles,prise de contact avec les gardiens, lettres dans les journaux municipaux etc. Les personnes échantillonnées (N) et leurs contacts de voisinage cités (N+) ont été contactés par les enquêteur.rice.s directement à leur domicile, en cas d'absence, un avis de passage et un dépliant étaient remis en boite aux lettres. De même lorsqu'un rendez-vous était fixé sur le pas de la porte, un coupon avec rappel de la date du RDV était remis en main propre. Les enquêteur.rice.s étaient incités à récupérer le numéro de téléphone de l'habitant.e concerné.e afin de faciliter la suite de la négocation et les éventuels décalages de rendez-vous. Chaque logement échantillonné faisait l'objet d'une fiche logement, appelée « fiche N », comprenant les informations nécessaires pour se rendre à cette adresse et un tableau pour annoter la date, l'heure et l'issue de chaque passage/évènement (y compris échanges de sms, appels téléphoniques, envois de courriers) à ce logement. Toutes ces fiches étaient rassemblées dans un cahier de suivi à emmener sur le terrain. Des fiches de suivi vierges étaient également prévues dans le cahier de suivi pour ajouter au fur et à mesure les contacts générés par les enquêté·e·s, appelées « fiches N+ ». Afin d'assurer une exploitation suffisante et uniformisée des logements échantillonnés ou cités, le protocole impliquait des consignes strictes concernant le nombre de passages à effectuer et l'« effort » à fournir pour obtenir un questionnaire. Il était demandé aux enquêteur·rices de faire varier les heures et les jours de passage aux logements, et de s'adapter aux rythmes des quartiers (privilégier le soir dans des quartiers d'actifs, etc.). Au bout de 7 passages sans réponses à des heures et des jours différents, l'enquêteur·ice devait faire une pause de 3 semaines avant de tenter 3 dernières relances. Si celles-ci n'aboutissaient à aucune prise de contact, le logement était alors considéré comme « absent ». De même, après un refus explicite, le logement devait être transféré à un autre enquêteur·rice qui devait à nouveau tenter sa chance 3 semaines plus tard. C'est seulement après un second refus, que le logement pouvait être classé en « Refus définitif ». Au cours du dernier mois d'enquête, le protocole d'enquête et les consignes ont été révisés pour s'adapter au contexte de fin de terrain : Le délai avant un second passage pour les refus et les absents est réduit à 1 semaine (au lieu de 3 semaines) afin de permettre un second passage avant la date de fin de collecte. La passation en face-à-face au domicile des enquêtés durait en moyenne 50 minutes.

Traitements

Taux de réponse

Au total, 2572 questionnaires ont été collectés, pour un objectif initial de 3000. Sur les 4113 "N" tirés, 1667 questionnaires ont été collectés, soit un taux de réponse de 40,5%. Sur les 1746 "N+" cités, 905 questionnaires ont été collectés, soit un taux de réponse de 50,2%. Le taux de sondage(1) final moyen est de 24,2 %. Selon les strates et les quartiers, le taux de sondage varie de 18,8 % à 44,2 %. Au sein des logements échantillonnés et enquêtables (hors impossibles à enquêter et hors champs), les taux de refus (primo et définitifs) varient entre 15% et 29% selon les quartiers. Les principaux motifs avancés par les habitant·e·s sollicité·e·s dans ces quartiers sont le fait de ne pas être intéressé par l'enquête et le manque de temps.(2) (1) Entendu comme le nombre de logements tirés dans chaque strate (logement privé / logement social) rapporté au nombre de logements dans la strate correspondante. (2) Pour plus d'information, consulter le bilan de collecte : « IE0253_A ».

Autres formes d'évaluation des données

La participation des enquêtés varie en fonction des difficultés propres à chaque terrain et dépend de nombreux éléments : A Lyon comme à Paris, les résidents de logements privés répondent généralement moins que les personnes en logement social. De même, les quartiers bourgeois présentent les taux de participation les plus bas (difficultés d'accès aux bâtiments sécurisés et dotés de gardiens.nes contrôlant les entrées, difficultés d'accès aux habitants (absents, mobiles, réfractaires), moindre coopération…). S'y ajoute à Auteuil, la très grande difficulté à faire déclarer des contats de voisinage. Le contexte des petites villes périurbaines a également impliqué plusieurs difficultés (difficultés d'accès aux bâtiments, importance de la vacance des logements, architecture non standardisée, très forte méfiance des enquêtés et lassitude après le recensement 2018 qui avait lieu quasiment en même temps). A l'inverse, les communes rurales périurbaines présentent les meilleurs taux de participation, rendus possible, entre autres, par un accès facilité aux habitations pavillonnaires et des réseaux de voisinage denses s'inscrivant quasiment systématiquement dans les limites de la zone d'étude (1). (1) Pour plus d'information, consulter le bilan de collecte : « IE0253_A ».

Pondération

Le calcul des pondérations de l'enquête « Mon quartiers, mes voisins » a été réalisé en deux étapes. Dans un premier temps, le calcul des poids de sondage a été réalisé afin de corriger l'impact du plan de sondage sur la structure de l'échantillon, puis, dans un second temps, une post-stratification est effectuée sur le statut de logement (social versus privé) afin que l'échantillon de répondants ait la même structure que celle observée sur le VSR (voisinage statistique raisonné dont la liste des logements constitue la base de sondage). 1)Le calcul des poids de sondage des N : Initialement, dans chaque VSR, un échantillon de logements a été tiré afin de disposer de « graines » pour ensuite capter d'autres logements en mobilisant les données de réseau des répondants. Afin de maximiser les chances d'atteindre des réseaux différents, ces logements ont été échantillonnés aléatoirement selon un sondage stratifié à allocation proportionnelle sur le statut des logements (privé versus social). Les échantillons initiaux ayant été sous-dimensionnés, des lots complémentaires ont été tirés. Le mode de tirage des échantillons complémentaires a été fait en deux parties indépendantes, pour chaque tirage complémentaire : tirage d'un nouvel échantillon aléatoire dans la base de sondage initiale et tirage d'un autre échantillon aléatoire au sein de la liste des logements absents de la base de sondage initiale et recensés au début de la collecte. Ce mode de tirage permet d'avoir un calcul simple des poids de chaque logement échantillonné. L'échantillon final est composé de l'agrégation des différents échantillons tirés indépendamment. Le poids de sondage correspond à l'inverse du taux de sondage. Il vaut en moyenne 4.22 et varie de 2.26 à 5.31. Le rapport du poids maximum sur le poids minimum n'excède pas 1.20 par VSR. 2)Le calcul des poids de sondages des N+ : Pour le calcul des poids des N+, il n'existe pas vraiment de théorie statistique permettant de calculer des probabilités de sondage. Cependant, on peut considérer que les N+ ont été obtenus par sondage indirect et mobiliser la méthode généralisée du partage des poids (MGPP). On dispose d'un échantillon nN de répondants échantillonnés selon un sondage stratifié et d'un échantillon nN+ obtenu à partir de l'échantillon nN. Les N+ ont donc été obtenus à l'issue d'un sondage indirect, puisqu'ils n'ont pas été échantillonnés, mais ont été mentionnés par une unité échantillonnée. Pour établir les pondérations des N+, on définit donc un système de liens entre les deux populations (N et N+). La particularité ici est que les deux populations ne sont pas disjointes, elles sont mêmes parfaitement substituables. Au numérateur du calcul, on fait la somme des répondants N ayant permis d'interroger un N+ donné, et au dénominateur, le nombre d'individus de la population qui aurait pu conduire à ce N+ (qu'ils aient été échantillonnés ou non). Pour chaque N+, les répondants (N ou N+) l'ayant cité ont donc été identifiés, et il était possible de remonter la chaîne jusqu'à arriver à un répondant échantillonné. Pour chaque N+, on dispose finalement des poids des N appartenant à ces chaînes/chemins, et également du nombre de répondants (N et N+) appartenant à ces chemins. On compte en moyenne 8.05 répondants dans le réseau des N+ (personnes liées directement ou indirectement au N+), dont 3.8 N. Le poids moyen des N+ est de 1.90 en moyenne, et varie entre 0.40 et 3.54. En moyenne, tous VSR confondus, les N+ ont un poids 2.22 fois inférieur à ceux des N, et le coefficient « diviseur » varie entre 1.95 et 2.56 selon les VSR. En considérant N et N+ conjointement, le poids moyen d'un individu est de 3.41. Ce poids moyen varie de 2.15 à 4.22 selon les VSR (plus la proportion de logements enquêtés dans le VSR est élevée, plus le poids de sondage est faible). 3) Post-stratification sur le statut des logements : La post-stratification consiste à corriger les biais observés dans l'échantillon liés au processus de collecte. On ne peut procéder à cette opération que sur des caractéristiques dont on connait la distribution dans la base de sondage et dont on dispose, à l'échelle individuelle, pour les répondants. Par ailleurs, il convient de choisir des variables que l'on considère en lien avec la thématique de l'enquête ou avec la probabilité de réponse à l'enquête. N'ayant que très peu d'informations sur les logements si ce n'est leur adresse, il a été mobilisé pour la post-stratification, l'information sur le statut des logements, comme dans la 1ère phase d'échantillonnage. La post-stratification consiste à appliquer un coefficient correcteur aux poids de sondage afin d'obtenir la même répartition social/privé sur l'échantillon pondéré que celle observée sur la base de sondage par VSR. A l'issue de cette opération, on obtient un nouveau jeu de poids. Les rapports de poids max/min par VSR sont satisfaisants puisqu'ils sont compris entre 3 et 8.36 selon les VSR, et le coefficient de variation des poids varie entre 21.2 et 42.1% selon les VSR. Une pondération est ainsi disponible dans la base : Variable POIDS = La somme des poids des répondants (N et N+) est égale à la taille des VSR (nombre de logements) et la répartition social/privé par VSR est identique à celle de la base de sondage.